Photo du mois de mars 2023 – Transport en commun

 

A l’époque appelée Oléa, c’était l’année des O, je vous souhaite depuis lors une bonne soirée. je suis une vraie princesse capricieuse et pourtant  Minouche avec mon maître, ma maîtresse, bof, elle est avec moi très versatile. Il faut dire que je lui donne des coups de pattes, non mais des fois, je suis chez moi, ici . :-)) 

Minouche à trois mois en 2018

 

Train régional en Belgique. Et oui cette photo date bien de l’année septembre 2014. J’étais allée rendre visite à ma fille et ensuite ai pris le train pour aller chez mon fils à seulement dix minutes. C’était plus pratique pour lui de venir me chercher avec la camionnette à l’époque de son employeur ferronnier. J’ai quelque pu oublié, et je vois qu’il n’y a pas un chat ni personne dans ce transport. Raison pour la quelle j’ai voulu faire la photo et aussi montrer comment c’était chez nous. Je pense qu’elle est restée dans les articles privés, à être publiée plus tard. D’ailleurs elle était prête comme vous la voyez et je l’ai prise telle quelle. Chouette, je n’ai pas eu à chipoter. Lorsque je pense à WP au début quelle facilité, maintenant, c’est vraiment plus mon truc comme présentation. Alors que j’ai tant aidé. Je ris tout de même en voyant ce vide sidéral, et j’ai vu ce que chez nos amis du Grand Est, ils ont eu la même idée pour le tram. Ici, je pourrais, encore devrais-je l’attraper entre deux pannes ou quelques manifestations auxquelles j’adhère totalement. Sauf les pannes, ou même les accidents avec voitures piétons, trotinettes, bicyclettes, motos etc…. très graves et moins. Les rails au même niveau que la circulation est une grande aberration. Cela c’est mon avis d’utilisatrice à Bordeaux, par rapport à Bruxelles, où le tram peut rouler en site propre, mais les côtés sont surélevés. Le reste bien séparé des voitures en aller-retour. Bah, tant pis, à chacun.e, de faire attention et ne pas traverser avec les écouteurs sur les oreilles. 



 

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Les photos des autres participants se trouvent en lien dans les commentaires.
Les règles de la photo du mois se trouvent
ICI

Les cannelés de Bordeaux – Comment les faire ?

Un peu d’histoire !!

Il y a plusieurs origines possibles, mais celle que l’on peut vérifier, est celle de l’évêché de bordeaux : les sœurs du couvent de Ste Eulalie avaient pour habitude de confectionner un gâteau à base de différents produits qu’elles pouvaient trouver sur le port de Bordeaux (18°siècle).

Ce gâteau s’appelait le cannelât – cannelât qui veut dire bâtonnet – car le moule était en forme de bâtonnet conique.

Ce gâteau était confectionné par les sœurs pour les indigents qui traînaient sur le port.

La décadence de la religion pendant cette période a entraîné dans sa perte, non seulement le couvent des religieuses de Ste Eulalie, mais aussi la recette de ce petit gâteau.

Quelque temps après, en hommage à la venue de Louis XVI à Bordeaux (qui n’est d’ailleurs jamais venu !), un maître boulanger se voit attribuer le dur ouvrage de réaliser une pâtisserie en l’honneur du Roi.

C’est à partir de la recette des sœurs de St Eulalie et en prenant le style mobilier le plus cher à Louis XVI (cannelures) qu’il a créé un gâteau original le « Cannelé » (reconnaissable par ses….. Cannelures).

Pour 12 cannelés

Préparation : 100 minutes

Cuisson : 1 heure T° 6 – 190°

FACILE

PEU CHER

½ litre de lait

1 pincée de sel

2 œufs entiers et 2 jaunes

½ gousse de vanille

1 cuillère à soupe de rhum

100 gr de farine

250 gr de sucre en poudre

50 gr de beurre

Plus 50 gr pour beurrer les moules à cannelés

Faire bouillir le lait avec la vanille et le beurre

Mélanger la farine, le sucre, puis incorporer les œufs d’un seul coup. Verser ensuite le lait bouillant.

Mélanger doucement pour obtenir une pâte fluide comme une pâte à crêpes,

Place au réfrigérateur 1 heure

Préchauffer le tour TH. 10 – 270° avec le tôle sur laquelle cuiront les cannelés.

Verser la pâte bien refroidie dans les moules bien beurrés, en ne les remplissant qu’à moitié. Rapidement disposer les cannelés sur la tôle du four en prenant soin de ne pas refroidir la chaleur du four.

Faire cuire à four chaud Th. 10 pendant 5mn puis baisser le Th. à 6 et continuer la cuisson pendant 1 heure. Le cannelé doit avoir une croûte brune et un intérieur moelleux.

Démouler encore chaud.

Photo du mois de juin 2020 – Mon amie mon ombre

Ce mois ci c’est Akaieric qui a choisi comme thème :

Mon amie mon ombre

Elle nous suit partout, on ne fait plus attention à elle. Peut être que dans notre dos, notre ombre fait des choses surprenantes ou va dans des endroits inconnus?

Comme je ne suis pas mon amie ni celle de mon ombre, c’est la première photo que j’ai faite puis d’autres et une ultra traditionnelle qui pourrait faire l’objet d’une photo du mois bis. J’ai trouvé celle-ci bien décalée. 🙂

 

Quelles sont les ombres que je vais découvrir chez nos ami(e)s ? 🙂

Sous mon arbre, Amartia, Pilisi, Akaieric, Philisine Cave, Blogoth67, Chris M, Tambour Major, Danièle.B, J’habite à Waterford,
La Tribu de Chacha, Escribouillages, Julia, USofParis, Marlabis, Renepaulhenry, Jakline, Who cares?, Frédéric, Gilsoub,

Gine, écri’turbulente, Nicky, Pink Turtle, Betty, El Padawan, Lavandine, Eurydice, Morgane Byloos Photography, Xoliv’,
FerdyPainD’épice, Laurent Nicolas, Lilousoleil, Brindille, Christophe, Josette, magda627, Cynthia.

Bordeaux – Chartrons – Un autre regard

Je lis beaucoup, mais n’oublie pas, comme je peux de faire des photos. J’ai juste la flemme de les mettre, les partager 🙂
Voilà début février, ce que j’ai découvert en marchant le nez vers le bas pour savoir où mettre les pieds, pour cause de travaux. Et je découvre avec joie ces jolies couleurs inattendues.

Clic sur les photos pour les agrandir.
N’est-ce pas mignon ?

Gazette de brindille du 14-05-2020

Voilà un moment que je voulais mettre cette photo, et je me rends compte qu’elle a été prise exactement l’année dernière le 15 mai 2019. C’est amusant, comme je ne participe pas ce mois-ci à la photo du mois. Quelle étrange coïncidence.
L’après « confit » chez nous se passe comme d’habitude, sauf que nous mettons des masques pour sortir et que je pourrai très prochainement aller à Blaye pour mon dossier impôts. En tant que Belge c’est différent.
Pour ce qui concerne Boucle d’Or, elle va beaucoup mieux après la rechute d’il y a quelques jours, le test a été négatif. Et boum ce matin, à nouveau de la fièvre. Cette fois ci une prise de sang. Elle a dix ans, et lors du test elle a demandé à l’infirmière :
– Concrètement, jusqu’où avez-vous été ? En montrant avec son doigt 🙂 L’infirmière lui a tout expliqué et GG a été très étonné du terme utilisé : « concrètement ».
Son papa qui a fait une embolie pulmonaire et qui n’a pas le covid est actuellement dans un autre hôpital pour son coeur. Il avait dit à sa fille que cela faisait très mal. Ce qu’il n’aurais pas dû dire, car elle a beaucoup angoissé. Au retour, elle était toute fière de dire à son papy que tout c’était bien passé avec la phrase supplémentaire.
Elle n’a pas sa langue dans sa poche, et le mot concrètement lui ressemble tout à fait. Elle veut tout savoir techniquement et a bien raison.

Avant-hier, je suis allée à la supérette de pas loin, et hélas, un pauvre pigeon sur le trottoir, ne savait plus où donner de la tête au milieu de tout ce bruit et de toutes ces personnes qui se croisaient sur son territoire qu’il croyait avoir acquis définitivement.

Il avait déjà perdu l’habitude de nous :
Frères humains, qui après nous vivez,
N’ayez les cœurs contre nous endurcis,
Car, si pitié de nous pauvres avez,
Dieu en aura plus tôt de vous mercis.
Vous nous voyez ci attachés, cinq, six :
Quant à la chair, que trop avons nourrie,
Elle est piéça dévorée et pourrie,
Et nous, les os, devenons cendre et poudre.
De notre mal personne ne s’en rie ;
Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !
François Villon première strophe,

Apprise pour moi en vieux Français. J’ai adoré 🙂

Heureusement que Minouche est là, elle détend l’atmosphère, et est adorable. Elle sait si bien se faire comprendre, même si elle n’aime pas être prise dans les bras. Au mois de septembre elle aura deux ans. J’ai des tas de photos et rien préparé. 😉

Au niveau lecture, ils se suivent rapidement et ce qui est dans les widgets sont de loin devenus bien obsolètes au niveau « fini de lire » ou « coup de coeur » 🙂

Je vais modifier mon coup de coeur, lu en Broché, que du plaisir pour le papier, assez grand pour le lire. Et puis Tchernobyl, Prypiat et moi, depuis la série, un excellent sujet à lire. La série est pire que le livre pour les descriptions. J’ai toujours à ce sujet un article à écrire.
Merci à Pierre Faverolle
à Yvan Fauth
à Geneviève Van Landuyt
etc…..belette, et nos nombreux échanges Belges 😆

 

 

Photo du mois d’avril 2020 – Le printemps

Ce mois ci c’est Renepaulhenry qui a choisi comme thème :

Vive le printemps

C’est en allant faire mes courses dans un magasin proche de chez moi situation sanitaire oblige, que j’ai pu dénicher il y a quelques jours cette fleur et cette photo que j’ai choisie parmi d’autres. Aujourd’hui, beaucoup de vent, pas trop réussie. Elles poussent tous les ans au même endroit, et j’aime les regarder. Elles ont une couleur que j’aime tant. 🙂

 Qu’ont trouvé nos ami(e)s photographes pour ce thème ?  😉

El Padawan, Cynthia, Jakline, magda627, Marie-Paule, Betty, Philisine Cave, Gine, Sous mon arbre, Eurydice,
Nicky, écri’turbulente, Pink Turtle, Lilousoleil, FerdyPainD’épice, Blogoth67, Lavandine, Giselle 43, La Tribu de Chacha, Pilisi,

Christophe, Tambour Major, Josette, Frédéric, Marlabis, Chris M, Xoliv’, Danièle.B, Akaieric,
Who cares?, J’habite à Waterford, Brindille, Laurent Nicolas, Gilsoub, USofParis, Renepaulhenry, Escribouillages.

Photo du mois de mars 2020 – Monochrome

Ce mois ci c’est magda627 qui a choisi comme thème :

Monochrome ou une seule couleur

Clic sur l’image pour l’agrandir.

Cette photo date du 28 février dernier. Telle que celle-ci a été prise, il faisait totalement gris.
J’ai dû toutefois passer par le N/B, j’ai dû me rendre compte qu’un panneau situé sur le bas des arceaux du pont était en couleur. Ceci sans doute pour la navigation fluviale. Sinon, j’aurais pu la laisser telle quelle.
Il n’y a guère de modification en passant par le N/B, sauf pour cette partie là.

Que vais-je découvrir chez nos ami(e)s ? 🙂

Xoliv’, Cynthia, Gine, Jakline, Laurent Nicolas, El Padawan, USofParis, Renepaulhenry, Blogoth67, Lavandine,
Tambour Major, Lilousoleil, Nicky, Julia, J’habite à Waterford, Gilsoub, Akaieric, Mirovinben, Who cares?, Josette,

Giselle 43, Morgane Byloos Photography, magda627, Brindille, Philisine Cave, Danièle.B, Sous mon arbre, Marlabis, FerdyPainD’épice, Eurydice,
Escribouillages, écri’turbulente, La Tribu de Chacha, Frédéric, Pilisi, Betty, Christophe, Pink Turtle, Marie-Paule.

 

Photo du jour – Tandem

Tandem de location. Habituellement, les scooters sont à une personne

Toujours et Jamais étaient toujours ensemble, ne se

quittaient jamais. On les rencontrait dans toutes les

foires. On les voyait le soir traverser le village sur un

tandem. Toujours guidait, Jamais pédalait. C’est du

moins ce qu’on supposait !

Ils avaient tous les deux une jolie casquette : l’une était

noire à carreaux blancs, l’autre blanche à carreaux noirs.

A cela on aurait pu les reconnaître ; mais ils passaient

toujours le soir et avec la vitesse…

Certains d’ailleurs les soupçonnaient, non sans raison

peut-être, d’échanger certains soirs leur casquette. Une

autre particularité aurait dû les distinguer : l’un disait

toujours bonjour, l’autre toujours bonsoir.

Mais on ne sut jamais si c’était Toujours qui disait

bonjour, ou Jamais qui disait bonsoir, car – entre

nous – comme ils étaient toujours ensemble, ils ne

s’appelaient jamais.

Paul Vincensini

Paul Vincensini né en 1930, à Bessans, d’un père corse et d’une mère savoyarde, et mort le 10 novembre 1985, est un poète français.
Alors qu’il était encore maître d’internat, Vincensini découvrit la poésie d’Alain Borne. Ce fut le début d’une intense amitié et d’une collaboration entre les deux hommes qui dura jusqu’à la disparition accidentelle d’Alain Borne en 1962. Dès lors, Vincensini ne cessa de multiplier les actions pour faire connaître le poète disparu, signant entre autres l’ouvrage qui lui est consacré dans la collection « Poètes d’aujourd’hui » chez Seghers. Sans doute peut-on dire que sans Vincensini, cofondateur avec Michel Rouquette du « Centre Alain-Borne », ce poète méconnu, aurait conservé sa grande part d’ombre.

Professeur de lettres et d’italien, Vincensini fut, sa vie durant, un propagandiste de la vie poétique, organisant et multipliant les manifestations, rencontres avec les poètes, spectacles et festivals poétiques, n’hésitant pas à se lancer lui-même dans des aventures éditoriales en créant les « Poèmes-missives » et le « Club du poème » qui publiera une quarantaine de titres. Mis à disposition par l’éducation nationale, Paul Vincensini accomplira un travail énorme de vulgarisation de la poésie dans les milieux scolaires, les associations, les organismes dépendant d’autres ministères que le sien. Il est aussi, avec Jean Pietri en 1982 le fondateur de la « Maison de la Poésie d’Avignon ».

Ses compositions personnelles, mélange de cocasserie, d’ironie et d’absurde, apparaissent comme un gigantesque pied de nez au mal être et au tragique existentiel.
Des sites internet lui sont consacrés :
http://www.paulvincensini.com
http://verlaine06.chez-alice.fr/

Où est le chemin ?

Je fais des rêves récurrents où je cherche mon chemin, dans un mix entre la Belgique, et la France, je passe les détails, tant c’est fatiguant.
Ensuite en parallèle, j’ai recommencé une psychothérapie axée sur la psychogénéalogie, histoire de retrouver les chemins de familles dysfonctionnelles, j’ai décidé de m’acheter une boussole. 🙂

Démarche totalement symbolique, histoire de tourner quelque peu en dérision ces rêves où j’en sors épuisée d’avoir cherché le chemin. Des rêves j’en connais le sens. A la place, je préférerais faire mon premier voyage qui était prévu à une date non déterminée, destination Sienne en Italie. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Conversation entre nounours

Le jour où j’ai photographié le sujet en perspective, en levant le nez, j’ai vu ces deux compères et ai pu entendre ce dont ils parlaient :

Comment ça va sur la terre ?
– Ça va, ça va bien.
Les petits chiens sont-ils prospères ?
– Mon dieu oui merci bien.
Et les nuages ?
– Ça flotte.
Et les volcans ?
– Ça mijote.
Et les fleuves ?
– Ça s’écoule.
Et le temps ?
– Ça se déroule.
Et votre âme ?
– Elle est malade
Le printemps était trop vert
Elle a mangé trop de salade.
Jean Tardieu

Jean Tardieu, né le 1er novembre 1903 à Saint-Germain-de-Joux, dans l’Ain et mort le 27 janvier 1995 à Créteil, dans le Val-de-Marne, est un écrivain et poète français, inventeur extrêmement fécond, qui s’est essayé à produire dans tous les genres et tous les tons : humoriste aussi bien que métaphysicien, dramaturge et poète lyrique ou formaliste, il a déployé en plus de soixante ans une créativité exceptionnelle, faisant alterner une poétique classique avec le vers libre ou les tentatives audacieuses de l’écriture informelle. Avec une inquiétude métaphysique dissimulée sous l’humour, Jean Tardieu n’a cessé de se « demander sans fin comment on peut écrire quelque chose qui ait un sens ».

Et deux citations parmi d’autres. 

“Une heure de conversation vaut mieux que cinquante lettres.” Mme de Sévigné

“Un bon divan est souvent ce qu’il y a de plus efficace pour meubler une conversation.” Pierre Dac

Perspectives bis

En complément de la photo du mois de janvier, j’avais fait quelques autres photos dans mon quartier ainsi qu’une photo de la suite des colonnes prise en haut des marches du Grand Théâtre, Place de la Comédie à Bordeaux. Ce beau bâtiment où se trouvent toutes les muses des arts sur le fronton.

Photo du mois de janvier 2020 – Perspectives et très bonne année

Depuis ce blog, je n’ai pas encore souhaité :  

🙂 🙂 🙂

Ce mois ci c’est Frédéric qui a choisi comme thème :

Perspective

« Technique de représentation de l’espace et de ce qu’il contient en fonction de lignes de fuite (généralement convergentes).

Cette photo a été prise hier aux Chartrons, Le quartier des Antiquaires se trouve là-bas dans le fond. Cette gargouille je l’ai découverte par hasard hier, placée au bout d’un tuyau d’écoulement d’eau provenant du toit. Elle me fait bien rire, là au ras des pavés. Les perspectives se trouvent au-dessus de sa tête. 

Quelles autres perspectives vais-je découvrir chez nos ami(e)s ? 🙂

Danièle.B, Who cares?, Lavandine, Philisine Cave, Nicky, Frédéric, Chris M, Julia, Tambour Major, USofParis,
Gine, Xoliv’, J’habite à Waterford, Gilsoub, Sous mon arbre, Renepaulhenry, Escribouillages, Christophe, Brindille, Lilousoleil,

Krn, FerdyPainD’épice, Morgane Byloos Photography, Giselle 43, magda627, Jakline, Eurydice, Marie-Paule, El Padawan, Josette,
Blogoth67, écri’turbulente, Cynthia, La Tribu de Chacha, Shandara, Pilisi, Mirovinben, Laurent Nicolas, Akaieric, Amartia.

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